Très belle interprétation de la Gnossienne n°3 d'Erik Satie, qui prend parfois des tournures inquiétantes, profondes, puis légères... Une évocation de la mer et de ses caprices? du ciel et de ses changements insensibles? ou bien des états d'âmes qui se succèdent dans une diversité contrastée qui n'exclurait pas l'harmonie ni l'équilibre de l'ensemble?
A chacun de juger selon son ressenti à l'écoute de ces notes merveilleuses...
Janne Mertanen plays Satie
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