Kim Bassinger et Jacqueline Lemonnier : deux vedettes honfleuraises, l'une "adoptive", l'autre "née native"


Transmis par Jacqueline Lemonnier
cliquez sur les images pour les agrandir, ça vaut vraiment la peine !!!



Sur la photo de gauche, Jacqueline Lemonnier avec sa célèbre écharpe à la fête de la Crevette de 2003.

Sur la photo de droite, Kim Bassinger avec ses fameuses lunettes dans les rues de Honfleur au début des années 1990 (photo due à Karine, la fille de la susdite Jacqueline).

Le monde est petit, non ? Surtout à Honfleur, ville des stars...


Vive le Québec libre !!!

transmis par Jacqueline Lemonnier
En 1608, Samuel de Champlain partait de Honfleur pour aller fonder la ville de Québec. Nos cousins d'outre-Atlantique parlent français et affirment courageusement leur identité face à un bloc anglo-saxon pourtant difficile à contrecarrer ! Longue vie à eux, et vive la francophonie! Comme a dit un grand homme du XXème siècle : "Vive le Québec libre !"

Toujours "chez nous" : Le Vieux Bassin, ses eaux vertes et ses vieux bateaux de pêche. La Lieutenance et ses échauguettes


transmis par Jacqueline Lemonnier

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Deux aspects d'ici, à Honfleur : la Fête des marins de la Pentecôte, une exposition de peinture au grand grenier à sel




transmis par Jacqueline Lemonnier / cliquez sur les images pour les agrandir

"Chez nous" ! ... Honfleur vue du ciel (avec nuages), Le Vieux Bassin, ses quais, "sa" Lieutenance, ses bateaux...


documents aimablement transmis par Jacqueline Lemonnier

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La Pentecôte à Honfleur

clichés transmis par Jacqueline Lemonnier
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(pas sur Jacqueline, mais sur les clichés!)
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Les traditionnelles fêtes de la Pentecôte de Honfleur sont devenues une manifestation touristique très prisée, avec sa pittoresque cérémonie de bénédiction de la mer et ses manèges sur le plateau de Grâce.

La nef de la chapelle Notre-Dame-de-Grâce ; la statue de la "Stella Maris", patronne des marins-pêcheurs ; une sortie de messe un jour de communion


Images vieillottes d'un ancien temps bien révolu, mais émouvantes...
Le sanctuaire de Notre-Dame-de-Grâce sur le plateau qui domine la ville de Honfleur fut longtemps un lieu de pélerinage très prisé des fidèles.
Son rayonnement, sans jamais atteindre l'ampleur du pélerinage de Lisieux (plus tardif), reste toujours conséquent.
Mais les temps changent, et le tourisme historique et patrimonial a largement remplacé la foi religieuse comme motivation pour s'y rendre.
Ce qui n'enlève rien à la beauté du site, qui porte les traces d'un passé encore vivant dans les mémoires...



Cliquez pour agrandir les images et voir les détails
documents aimablement transmis par Jacqueline Lemonnier

Exposition du 4 octobre au 7 décembre 2008 : De Saint-Vaast-la-Hougue à Fécamp... Gervais LETERREUX (1930-2003) Artiste bas-normand

Vernissage le samedi 4 octobre 2008 à 17h30,
en l'espace Charles Léandre de Condé-sur-Noireau
Commissaires de l'exposition : Frédéric LETERREUX, Eric LEFEVRE
avec l'aimable autorisation et précieuse collaboration de Madame Gervais LETERREUX



Gervais Leterreux : Etretat, aquarelle

CLIQUEZ SUR LES DOCUMENTS CI-DESSOUS

POUR LES AGRANDIR ET LES LIRE





























Gervais Leterreux :
La grève, aquarelle
et
Neige à Honfleur, 1953, huile sur toile

En exclusivité pour "Honfleurissimo!!!" : "Honfleur", par le poète Nicolas Saeys...



Nicolas Saeys, poète natif de Honfleur, nous offre en exclusivité la primeur de son poème dédié à la plus belle ville du monde... Toute l'équipe de "Honfleurissimo!!!" le remercie chaleureusement, en attendant une présentation plus complète de cet artiste pour le moins talentueux et original...






Nicolas Saeys vu par PIBOI ------->









Honfleur
C’est un regard apprivoisé ;
le nôtre, le mien.

Un port frais, bandé de feu.
Des V blancs dans le ciel clair,
des silhouettes dans l’azur brumeux.

C’est un paysage ;
de jaune ou de blanc. Sans noirceur.

Honfleur est le lieu de la naissance.

Je suis né un jour de fête, de repos.

C’était un midi, le dimanche,
nostalgie cristallisante.
ou le midi, un dimanche,
cristallisation nostalgique.

Temps de douleur et de délivrance .

Temps de mort teinté de vie.

L’œil ouvert
d’une vision multiple,
illuminé du monde.

L’enfance
est un pays versifié de mers,
houleux de souvenirs,
s’échouant aux murs du château fort.

Oui. À cet âge,
rien n’est plus fort que les sens,
rien n’est plus faible que les mots.

J’ai déniché la clef de ce rêve

dans la vase du Vieux-Bassin
(combien ai-je sué dans cette aventure),
j’ai remonté la Côte de Grâce,
au-dessus des toits d’argent et d’ardoise.

C’est au clair de lune
que j’ai vu miroiter l’alliance maternelle,
pendue par un cheveu blond,
qui servait de trousseau unique.

Effrayé par ce mystère,
m’envoûtant dans une obscurité
où planait l’ombre haletante
d’une énigme hasardeuse,

j’ai laissé le rêve tel qu’il est,
et sera toujours,
dans les ballets de feuilles mortes,
depuis la hauteur du Mont Joli,
enfermé dans une aube rieuse.

L’œil voit, observe,
jusqu’à n’être plus
qu’un reflet sensible
d’indiscipline et de révolte.

Le réveil
est un appel à la liberté,
Avenue de la République,
avenir des deux côtés
de ma chair et de mon esprit,
face à l’écueil des vents de l’horizon.

J’ai pris conscience
d’une certaine poésie

tel un cœur plongé dans l’idéal
avant d’être recouvert d’une couche d’étain.

Sans art ni langage en ce genre,
j’appris à écouter l’autan,
refrain d’oubli des tumeurs viscérales.

Ce qui ne me paraissait pas définissable
- par le verbe -,
je lui attribuais quelque nature divine.

Parce que le cœur des choses n’est pas verbal ;
le cœur des choses n’est que source de poésie.

C’est un coup de poing spirituel,
apprentissage humiliant l’orgueil des mortels.

N’être ni Dieu, ni créateur, ni parole ;
qu’un homme, créatif, hâbleur,
allant d’un bout à l’autre d’une perception sans découverte.

De quoi se détourner de l’Église Sainte-Catherine,
et de vivre cloîtré sur une île déserte, à l’abri des rictus.

Quand TOUT est perdu d’avance,
que RIEN n’est gagné sans volonté,
il y a de la nonchalance à user d’outils.

Il arriva qu’un soir, au crépuscule,
attentif aux roucoulements d’un volatile,
je demandai à un agriculteur bonhomme :

« Quel est cet oiseau ? »
« C’est le chant de la tourterelle »,
me répondit le paysan.

J’avais usé du verbe comme un objet d’images et d’échos.

Il m’avait l’air au début d’un machin avec des bidules.

Le premier que j’empruntai pour le faire résonner,
je le cassai dans ma boîte crânienne.

« Vous n’avez rien entendu ? »
demandais-je alors aux passants,
qui me prenaient pour un fou furieux.

Les tours d’escamoteurs ne suffisaient pas :
mes jongleries en firent rire plus d’un.

En cognant les objets les uns contre les autres,
décidément, ça ne chantait pas, ça résonnait bêtement.

Si ça continuait,
j’allais régresser à l’état d’homme-singe.

J’avais la volonté de pouvoir,
mais je la commandais.
Elle ne resta pas chez moi très longtemps.

Mais quand je quittai mon bureau,
elle revint de plus belle ;
elle n’était pas claire dans ma tête.

Je me résolus à lui tenir la main
comme un mari résigné.

Les gens me plaignaient en disant :
« quel imbécile !… »

Moi, j’étais content de ce mariage d’appréhension des choses.

Ce n’était pas qu’une volonté humaine, mais une volonté poétique.

Le monde ne s’arrête pas
à l’œil vif ni à l’observation dense.

Je m’agaçai moins à propos du verbe,
tentant de le saisir avec la main,
ou plutôt d’en happer ce que j’appelais « substance »,
d’arracher les faces de l’objet en y cassant mes ongles.

Je m’imaginais qu’un puits interne,
à l’échelle atomique, infinitésimale,
en illuminait les parois, d’où ma recherche profonde.

Dans le miroir,
on s’attache d’abord au reflet,
ensuite à ce qui reflète.

Il y a des mirages formés à partir d’une glace.

La poésie serait un reflet dont la réflexion semble imperceptible.

Il n’y avait pas que cela ;
un jour, la brume et la pluie
qui martelaient la fenêtre de ma chambre

m’engagèrent à parcourir
la place de l’Hôtel de ville,
le poing posé contre le menton.

Que croyais-je y trouver ? Je n’y trouvai rien.
Sauf que les côtés imparfaits brillaient comme un phare.

Ça faisait loin, tout de même.

Un fanal, c’est corrélatif à la forme vivante de l’objet.
C’était un lieu fantasmagorique sans valeur significative.

Lorsque j’écrivis au retour, je ne m’en doutais pas.
Ni du passé, ni du présent, ni du futur.
Il y a pourtant un sens dans le rayonnement centrifuge
que produit l’objet (des polémiques),
qui donne une raison interprétative de l’o
rigine.

Le poète dévierait la projection extérieure
- consciencieusement-,
comme un réfléchissant de lumière vers les lecteurs.
Un réfléchissant ? Ce serait trop beau !
Un réfléchisseur, disons.

Il convient que ce projet demeure fantaisiste :
la poésie est un objet qui n’a pas de forme distincte.

C’est un signe qui n’a pas de graphie,
c’est un panorama dont la couleur est libre.

Je n’aurais pas dû écrire
ce que j’ai écrit, ni écrire ce soi-disant, prétendu poème.

Je voulais signifier le mot " poésie " ;
si j’avais voulu signifier " la poésie ",
j’aurais composé sur une feuille blanche,

j’aurais accompli l’impossible.

C’est ce que Honfleur m’a appris :
plus je m’éloigne d’elle,
plus je suis loin de toute poésie.

J’y reviendrai :
tout aura changé de fond en comble.
J’espère y être
et n’y avoir nulle présence.

Le donjon immortel
ne sera qu’une antiquité en ruines.

Le port ne sera plus le même,
j’aurai voyagé par monts et par vaux,

fort de ce qu’il fut,
étranger à ce qu’il est,
ignorant de ce qu’il sera.

Mon existence : un destin méconnu,
mon œuvre, un testament invisible,
où je pourrai souffler enfin à l’oreille des lecteurs :

« va, ce n’est qu’un rêve. »


Novembre 2007
(tous droits réservés (c))

Héraldique - Honfleur au temps des corporations : chacun son métier, chacun ses armoiries!


*Communauté des Apothicaires de La Ville d'Honfleur D'or, à une spatule de sable posée en pal accostée de deux boîtes couvertes de gueules.

*Communauté des Bouchers de La Ville de Honfleur De gueules, à un fusil de boucher d'argent posé en pal.

*Communauté des Boulangers de La Ville de Honfleur D'azur, à une pelle de four d'argent posée en pal chargée de trois pains de gueules.

*Communauté des Carleurs de La Ville de Honfleur De sable, à un tranchet d'argent emmanché d'or posé en pal.

*Communauté des Chandeliers de La Ville d'Honfleur De gueules, à une chaudière d'or surm. en chef de deux paquets de chandelles d'argent.

*Communauté des Cordiers de La Ville d'Honfleur De gueules, à deux paquets de cordes d'or en chef et une roue d'argent en pointe.

*Communauté des Cordonniers de La Ville d'Honfleur De sable, à un cauteau au pied d'argent.

*Communauté des Drapiers de La Ville d'Honfleur De gueules, à une aune d'argent marquée de sable posée en pal.

*Communauté des Droguistes de La Ville de Honfleur D'argent, à une balance de gueules.

*Communauté des Marchands de Dentelles de La Ville d'Honfleur De sable, à deux fasces d'argent denchés par le bas.

*Communauté des Marchands de Molues de La Ville de Honfleur D'argent, à trois poissons de gueules rangés en pal.

*Communauté des Maréchaux de La Ville de Honfleur D'or, à une butte de sable posée en pal accostée de deux fers de cheval de même.

*Communauté des Menuisiers de La Ville d'Honfleur D'azur, à un rabot d'or surm. d'un compas d'argent ouvert en chevron.

*Communauté des Merciers de La Ville d'Honfleur D'azur, à une balance d'or acc. en pointe d'un marc de même.

*Communauté des Plâtriers de La Ville de Honfleur D'azur, à une truelle d'argent emmanché d'or.

*Communauté des Serruriers de La Ville de Honfleur D'argent, à une clef de sable posée en pal.

*Communauté des Tailleurs D'Habits de La Ville d'Honfleur De sable, à deux couteaux d'argent passés en sautoir.

*Communauté des Tisserands de La Ville d'Honfleur D'argent, à une navette de sable posée en barre.

*Communauté des Toiliers de La Ville d'Honfleur De sinople, à trois fasces d'argent.

*Communauté des Toiliers Lingers de La Ville d'Honfleur D'azur, à deux fasces d'argent.

*Communauté des Tonneliers Futaillers D'Honfleur D'or, à trois barils de gueules posées sur leurs fonds 2 et 1, acc. en coeur d'un maillet de sable.

*Communauté des Vendeurs de Grain de La Ville d'Honfleur D'argent, à trois boisseaux de gueules 2 en chef et un en pointe, et une gerbe de même posée en coeur.

*HONFLEUR Normandie - Ville de Normandie De sable, à la tour d'argent, mouvante d'une mer d'azur, et accostée de deux fleurs-de-lys d'or, au chef cousu de France.
.
Pour plus de renseignements sur l'armorial des corporations en général, cliquez sur le lien suivant :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Armorial_des_corporations

La chorale "Choeur accord" à la chapelle de l'ancien hôpital de Honfleur, dimanche 14 septembre 2008

Un photo-reportage de Jacqueline Lemonnier. Merci!




























Photos Jacqueline Lemonnier (c)

Honfleur, terre d'expiration de la monarchie. Les dépouilles de Louis-Philippe et de Marie-Amélie débarquées à Honfleur en 1876...

document aimablement transmis par Michèle Le Floc'h (c)


Après la Révolution de 1848 et le fameux exil en Angleterre via Honfleur, Louis-Philippe et sa famille vivent à Claremont (Surrey) jusqu'à sa mort le 26 août 1850. En 1876, son corps ainsi que celui de sa femme la reine Amélie (26 avril 1782 – 24 mars 1866) sont ramenés à la Chapelle royale, la nécropole familiale que sa mère a fait construire en 1816 à Dreux et qu'il a lui-même fait agrandir dans les années 1820.


Vingt-huit ans après leur court séjour à la Côte de Grâce sur le chemin de l'exil, les époux royaux repassent par Honfleur où les amène le bateau représenté sur cette gravure. Un train se chargera d'acheminer les dépouilles débarquées à la nécropole royale de Dreux...


A la pointe du "noble art", le Honfleurais Kevinn Rabaud, de la "petite Chine" à la grande... (extrait du Ouest-France du 1er septembre 2008)

Pendant les J.O. de Pékin, il est apparu à l'écran lors des épreuves de boxe. Kévinn Rabaud, bien connu des Honfleurais pour avoir sévi au Boxing Club Honfleurais (BCH) pendant de nombreuses années, est devenu directeur technique national adjoint de boxe.



Directeur technique national adjoint de boxe, le Honfleurais Kevin Rabaud a vécu les JO au coeur de l'évènement. De passage à Honfleur, il revient sur cette expérience hors norme.

Âgé de 34 ans, Kevin Rabaud est le fils de Patrick, responsable des sports à la ville de Honfleur et pugiliste de talent dans les années 70. C'est donc très tôt que Kevin est monté sur le ring, au point d'engranger les titres régionaux et les podiums nationaux, fréquentant aussi l'équipe de France junior. Pensionnaire de l'INSEP, les responsables nationaux lui proposent à l'âge de 20 ans d'embrasser une carrière dans l'encadrement. La réflexion s'engage et après avoir obtenu sa licence STAPS et son CAPES, il part enseigner deux années avant de rejoindre la fédé. Conseiller technique régional en Ile de France, il part ensuite à la Direction jeunesse et sports de Bordeaux avant de revenir dans le giron du « noble art » en 2004, encouragé par le DTN en place, Dominique Nato. Et depuis sans relâche, il travaille sur ce dossier des Jeux olympiques. « J'ai participé à la préparation pour Athènes en 2004 où nous avions 6 qualifiés, mais cette année, 9 qualifiés, c'était un record. J'ai coordonné l'ensemble du projet olympique, et je suis allé à Pékin en mai dernier pour reconnaître les sites, rencontrer le personnel et le comité olympique. Puis nous sommes allés en stage à Cuba et en Thailande avec les boxeurs avant de rejoindre Pékin, ce qui pour moi représentait l'aboutissement de 4 années de travail », explique Kevin.

Bolt, Nadal, Ronaldinho

Et de son séjour olympique, Kevin Rabaud en gardera quelques souvenirs marquants : « D'abord, il faut avouer qu'hormis la boxe, je n'ai rien vu d'autre. Nos boxeurs sont allés loin dans la compétition, donc nous étions la tête dans le guidon avec eux. En revanche, nous habitions avec les athlètes français et là j'ai fait de belles rencontres, avec les lutteurs, nageurs ou les handballeurs. De même, lorsque vous déjeunez en face du fabuleux sprinter jamaician Bolt, de Rafael Nadal ou de Ronaldinho, vous vous dites que les Jeux olympiques, c'est quand même énorme ! Quant à nous, nous avons eu des résultats exceptionnels, avec 3 podiums. Des résultats jamais obtenus depuis 1920 ! Et pourtant, il reste un sentiment d'inachevé car il nous a manqué le goût de l'or. Une frustration d'autant plus grande que l'arbitrage ne nous a vraiment pas aidés... Le monde entier l'a vu, en finale pour Sow et surtout en demi-finale pour Alexis Vastine », a noté Kevin, venu se ressourcer en famille à Honfleur. « Je vais reprendre mes activités le 15 septembre, en m'éloignant un peu du ring pour rejoindre le siège de la fédération », conclut le DTN adjoint, que l'on aurait pu voir sous d'autres couleurs aux JO. « À l'hiver dernier, j'ai été contacté par la fédération australienne pour conduire leur selection nationale. Mais j'ai décliné l'offre car je voulais aller au bout de ma mission à la fédé aux côtés de Dominique Nato. Mais une expérience à l'étranger un jour ou l'autre, pourquoi pas ? » (Ouest-France 01/09/2008)


Entre deux rounds de shadow très amateurs, "Honfleurissimo!!!" ne prend pas de gants (de boxe) pour souhaiter à Kévinn bonne continuation et bonne chance dans cette punchy success story... honfleuraise, naturellement!

Hommage (en forme de poire ailée) à Erik Satie


Erik Satie par PIBOI d'après Suzanne Valadon

Le 15 août 2008 à Honfleur











un photo-reportage
de
Jacqueline Lemonnier (c)




Hommages (posthumes) à Alphonse Allais ou la rigolomanie en plaques...

























document aimablement transmis par Jacqueline Lemonnier. Cliquez pour l'agrandir.

La pensée humaine est universelle, mais la pensée humaine honfleuraise...




...vole parmi les mouettes !!!
"Pensée honfleuraise"
PIBOI -->

Un petit coin de paradis : le Travel's Coffee, place du puits à Honfleur

Pour tous ceux qui cherchent le charme et la tranquillité dans Honfleur, une adresse : le Travel's Coffee de la place du puits, où Liliane et Antoine Giaglis se feront un plaisir de vous accueillir pour un café ou tout autre breuvage savoureux dans un cadre enchanteur!


tableau de Andy Whar - Ôl

Les merveilles architecturales de Honfleur : détails d'une façade de la rue des Prés




Au-dessus de l'ancienne boulangerie David...






Photos René Le Floc'h (c)

Revue Le Pays d'Auge juillet-août 2008 : le papier peint panoramique de Barneville-la-Bertran (charmant petit village du canton de Honfleur)


Nous signalons à l'attention des habitués de Honfleurissimo!!! la sortie en juillet-août 2008 d'un passionnant numéro de la revue Le Pays d'Auge, consacré à la franc-maçonnerie en Pays-d'Auge. Outre la découverte des loges, nous avons le plaisir d'apprendre l'existence d'un curieux papier peint panoramique dans la petite mairie de Barneville-la-Bertran, commune rurale du canton de Honfleur dont il est souvent question sur ce blog.
Il est vrai que ce charmant "village-capitale", si bien caché, recèle plus d'un mystère!
A lire donc, à dévorer sans modération!