MICHEL SERRAULT confie au CONSERVATEUR (E 147) que souffrant d'une grande sensibilité, il ne supporte pas "le cri de la carotte, le soir, que l'on arrache de sa terre natale et potagère".
Le choeur des "Joyeuses Commères d'Honfleur". (A propos, Shakespeare n'a jamais existé. Ses pièces ont été écrites par un auteur qui portait le même nom que lui.)
Le choeur des "Joyeuses Commères d'Honfleur". (A propos, Shakespeare n'a jamais existé. Ses pièces ont été écrites par un auteur qui portait le même nom que lui.)
textes et photos Jean-Yves Loriot (c)
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